mardi 7 avril 2009

La fleur de mon secret

Brèves de MSN

blondy : tain j'ai la chiasse
blondy : et j'ose pas péter l'air que j'ai dans le bide(pour cause de sodomie matinale)
blondy : amis poètes ...

lundi 30 mars 2009

J'aime...

Photo Araki

J’aime être allongée sur le dos, les yeux fermés, un souffle chaud qui court sur ma chair

J’aime être caressée, d’une main légère et douce, pour ne sentir que la pulpe des doigts et non le plat de la paume sur le grain de ma peau

J’aime être tenue, enfermée comme dans un étau, un avant-bras qui passe sur mon cou, une main qui fouille et caresse mes recoins intimes et mouillés

J’aime être pincée, deux doigts qui se saisissent de mes tétons, une main qui comprime les lèvres de mon sexe

J’aime être mordue, des incisives qui viennent mordiller ma nuque et mes oreilles, une mâchoire qui se referme sur mon cou pour en faire rouler les tendons

J’aime être frappée, voir mes parties charnues s’attendrir sous une pluie de coups moelleux et profonds

J’aime être attachée, offerte et sans défense, pour m’en remettre à l’autre, devenir sa chose pour qu’il soit mon fantasme

samedi 28 mars 2009

Please spank me


Ahhhhhh la fessée, la fameuse !
Attendre, cambrée et tremblante, le moment où le coup tombera pour de bon, avec une peur mêlée d'excitation qui vous creuse le ventre ; avoir une conscience aigüe de l'air qui se déplace puis sentir une main large et ferme s'abattre en cadence sur votre derrière pommelé. Et les endorphines qui se libèrent, voletant comme des abeilles pour vous propulser dans un état proche de l'extase.
Enfin vient le retour au calme et l'observation mi-fascinée, mi-amusée, des traces des coups qui subsistent, visibles et tangibles, telles des volutes de plaisir et de douleur.

Voilà, c'est dit : je veux une fessée.


vendredi 27 mars 2009

Avoir les yeux plus gros que le ventre, et le regretter amèrement...

Sur les conseils avisés de mon amant, je me suis mise en tête de m’acheter un godemiché. J’ai donc commandé sur Internet un modèle en forme de fémur qui me semblait particulièrement élégant et ergonomique. Quelle ne fût pas ma déception lorsqu’à la réception de mon colis, je me rendis compte que je ne pouvais pas vraiment — à moins de forcer comme une malade en utilisant deux tubes de lubrifiant — l’introduire dans ma chatte.
La question existentielle qui me taraude est donc la suivante : à quoi sert réellement cet instrument ?
Est-il réservé à un usage externe ou bien seulement destiné à servir d’élément décoratif, est-ce une mini-massue ? Si vous avez des suggestions, voire une connaissance plus aiguisée des sex-toys que moi, n’hésitez pas à me contacter, je vous saurais gré de m’aiguiller dans mes recherches.



Pour l’heure j’ai bien peur que le dit objet en forme de fémur ne soit définitivement coincé dans une partie sombre et moite de mon anatomie. À ma grande déconvenue, il ne me reste que le choix entre la prière et le service des urgences… Il y a-t-il un saint spécial à contacter pour les problèmes de godemichés ?

jeudi 26 mars 2009

Quand on aime on ne compte pas (enfin normalement)


En bêta-test, un site qui se veut votre nouvel iCal du sexe : bedposted.com
Un bon moyen de garder une trace de vos meilleures (ou de vos pires) parties de jambe en l'air.
Perso je tiens depuis 2002 un carnet dans lequel je répertorie absolument tout mes "exploits" sexuels : nom du partenaire, durée, position, mode de contraception, etc...
J'envisageais de créer un fichier Excel pour pouvoir faire des courbes et des stats, mais bon, je crois que je vais finalement m'inscrire sur bedposted, ça a l'air plus fun qu'Excel !

Quant à vos pires parties de jambes en l'air, à défaut de vous inscrire sur Bedposted, vous pouvez toujours aller témoigner de votre dépit — voire de votre indignation — sur monpirecoup.fr ; c'est un peu comme viedemerde.fr mais avec une orientation beaucoup plus "sexe".

En sus, voici quelques morceaux choisis croustillants provenant de monpirecoup.fr :

"Moi mon pire coup c'est quand ma mère m'a surpris en train de me masturber dans ma chambre et m'a demandé si je voulais sa main..."

"Moi mon pire coup, c'est quand j'ai proposé à ma femme la sodomie. Elle m'a dit OK. J'étais tout exité toute la journée et j'attendais le soir avec hâte. Je le fut moins quand mon épouse m'attendait de le lit conjugale avec une "ceinture-god" monstrueuse et un sourire en coin qui semblait dire - "A 4 pattes mon coco""


"Moi mon pire coup, c'était en pleine action, je me mets à crier vraiment très fort (genre film porno à deux euros) “Aaaah aaaah!” et lui, tout content, le sourire jusqu’aux oreilles, me souffle, “T’aimes ça, hein, t’aimes vraiment ça, petite cochonne!”, et là, je hurle encore plus fort : ” Aaaah aaah J’ai une crampe dans le mollet !”. Ca l'a bien refroidi et un peu vexé..."


"Moi mon pire coup, c'est quand je me suis réveillé, un beau matin, le lendemain d'une fête bien alcoolisée, avec un préservatif qui me sortait de l'anus."

mardi 17 mars 2009

Sperme

Il accélère, prêt à jouir, mais c'est une de mes positions préférées, lui à genoux devant moi, mes jambes tendues devant lui, mes pieds au niveau de son visage ; j'aimerais que ça dure, encore un peu, éternellement, et en même temps mon excitation atteint son paroxysme quand je le sens exploser, aussi je me concentre pour profiter au maximum de cet état de grâce.
J'ai envie de sentir sa queue se tendre en moi et, dans un ultime soubresaut, décharger son liquide chaud en m'inondant la chatte...
Seulement voilà, pour un infime mais cependant incontournable problème de contraception, l'éjaculation ne peut se faire que outdoor. Il se retire donc pour se branler.
Je rapproche mes lèvres de son sexe tandis que ma main lui caresse doucement les bourses.
Au moment où le sperme jaillit dans ma bouche, je lui glisse l'auriculaire dans le cul

lundi 16 mars 2009

A l'agence

Ils ne s’étaient jamais vraiment parlé.

A peine un salut matinal, dans l’ascenseur, lorsqu’elle avait son casque sur les oreilles et que lui somnolait à moitié en attendant d’arriver au cinquième étage. Parfois un bonjour murmuré du bout des lèvres devant la machine à café. Personne ne les avait officiellement présentés. Elle ne connaissait pas son prénom, il devait être créa, pensait-elle, puisque le cinquième étage est leur territoire exclusif. Cette bague qu’il portait à l’annulaire gauche l’intriguait : elle était bien trop grosse pour être une alliance et en même temps, cet emplacement n’était pas neutre de significations

Lui savait qu’elle s’appelait Judith et avait deviné à une conversation involontairement surprise qu’elle devait être stagiaire. Elle descendait au deuxième étage : elle pouvait donc être aux RP, ou commerciale, ou au planning. Il n’aurait même pas remarqué cette fille si ce petit con de Jonathan, l’administrateur réseau, sympa, beau gosse mais crâneur, ne l’avait pas draguée, juste sous ses yeux. «Et donc Judith, ça te plaît la boîte ? Aimerais-tu qu’on déjeune cette semaine ?». En général, quand Jonathan proposaitun déjeuner, on pouvait être quasiment sûr que trois jours plus tard, à la pause clope, il raconterait en détail les prouesses sexuelles de la fille. Il fut surpris quand ladite Judith déclina son offre, poliment, sans condescendance, mais avec fermeté. «Ok, c’est toi qui vois», avait-il répondu, vexé.

Ce refus l’intrigua et il se mit à l’observer avec attention. Elle était plutôt jolie, blonde, yeux noisette, un peu trop maquillée pour le bureau. Elle portait une chemise noire avec une échancrure assez large pour laisser entrapercevoir un beau 95 C, un jean étroit qui moulait une paire de fesses musclées et de petits escarpins pointus qui remontaient son 1m64. En général, les (rares) filles qui déboutaient les tentatives de séduction de Jonathan étaient soit totalement coincées, soit très mariées. Judith n’avait pas l’air timide, au contraire, elle avait un côté lascif et aguicheur qui ne lui déplut point. Peut-être que Jonathan n’était pas son style de mecs après tout, peut-être qu’elle n’était pas du genre à se laisser impressionner par un grand brun aux yeux clairs. Est-ce qu’un homme comme lui, châtain, de taille moyenne, aux yeux marron, avait davantage de chances de la séduire ?

Il y pensa en regagnant son bureau et puis à l’instant où il s’assit sur son fauteuil, il se plongea dans la maquette qu’il devait boucler et il l’oublia. Judith, quant à elle, l’avait regardé partir en observant sa démarche nonchalante, rivée à son postérieur bien mis en valeur par son jean (elle détestait les fessiers noyés dans des pantalons trop larges). Il lui plaisait beaucoup, ce créa du 5ème étage. Si seulement il pouvait se décider à l’aborder … Elle avait presque hâte d’être le lendemain matin, pour avoir l’occasion de lui dire bonjour à nouveau, et de trouver un prétexte pour lui parler.

L’ironie voulut qu’ils n’arrivèrent plus à se croiser pendant plusieurs jours. Il avait une semaine chargée, une reco importante à boucler, il ne sortait pas de son bureau. Elle, à son tour, était arrivée en retard plusieurs matins d’affilée (pannes intempestives sur sa ligne de métro) et ne déjeunait plus à l’agence. Chacun vaquait à ses occupations, on n’y pensait plus. Et puis il y eut le meeting créatif du jeudi après-midi. Tous les collaborateurs avaient été conviés dans la grande salle de réunion. C’était le rendez-vous mensuel de l’agence, au cours duquel le directeur de la création, en alternance avec le directeur du planning, présentaient les nouveaux projets, les «competitive review» des concurrents, les cahiers de tendance. Ces réunions jouissaient d’une grande popularité au sein de l’agence, la salle était souvent bondée, la moitié des gens se tenaient debout, faute de sièges. Judith était arrivée un peu avance, munie d’un crayon et d’un carnet, pour être sûre d’avoir une bonne place. Peu de temps après, il n’y eut plus une chaise de libre et la réunion commença.

Il était là, naturellement, adossé au mur, les mains dans le dos, la tête penchée légèrement à droite, suivant du bout de l’oreille le discours du patron. Justement, ce dernier avait commencé par présenter sa toute dernière création, qu’il venait de terminer à grand renforts de cafés et de nuit blanches. C’était une publicité pour une marque de soft drinks. Tout le monde avait les yeux braqués sur l’écran, sauf Judith, qui le regardait, lui, ou plutôt, la cicatrice qui courait dans son cou. Une longue balafre de douze centimètres qui partait de son oreille droite et qui s’enroulait autour de sa nuque pour disparaître sous le col du T-shirt. Jusqu’où descendait-elle ? Qu’est-ce qui l’avait causée ? Avait-il était agressé ? Avait-il eu un accident grave ? Avait-il failli mourir ? Elle ressentait une excitation étrange à imaginer son torse couvert de sang, à pronostiquer la texture de l’épaisse suture cicatrisée sous sa langue ou ses doigts. Echauffée par ces pensées, elle enleva la chemise qu’elle portait, pour dévoiler un débardeur délicat en satin mauve, ourlé de dentelle.

Ce geste attira son regard sur Judith. Elle avait de très belles épaules, rondes et douces, sans aspérités claviculaires, et un grain de peau très pâle. Ses cheveux blonds caressaient la naissance de ses seins, qu’il devinait en poire. Le genre de forme qui lui aimait prendre à pleine bouche. Judith s’aperçut vite qu’il la dévisageait mais n’osait lever les yeux, ou seulement l’espace d’un clignement de paupière, pour vérifier qu’elle ne se trompait pas. C’était drôle : tout le monde regardait une série de publicités explicites (l’un des sujets de la réunion étant «le sexe dans la pub»), sauf Judith qui dévisageait son créa, qui l’observait du coin de l’oeil. Lorsque leurs yeux se croisèrent, elle reçut une décharge fébrile dans les reins et baissa le regard, avant de lever la tête à nouveau. Nul besoin de traduction, leurs yeux parlaient le langage le plus limpide de tous, celui du désir, immédiat, puissant et douloureux.

Judith sentit qu’elle était baignait dans son excitation, une moiteur familière et tiède qui allait couler le long de ses jambes lorsqu’elle se relèverait. Est-ce que le créa s’en apercevrait ? Est-ce que la mouille féminine dégage une odeur qui pourrait la trahir ? Elle n’était pas la seule à avoir quelque chose à dissimuler. A cette distance, elle ne voyait les tourments qu’elle provoquait en lui. Il fut obligé de mettre ses mains devant sa braguette, de peur que quelqu’un s’aperçoive qu’il bandait (il eût été gêné qu’on pense qu’une publicité où des gens font semblant de faire l’amour l’excitait). Ce sont des images toutes autres qu’il avait devant les yeux : les seins de Judith débordant de sa bouche, les cheveux de Judith maintenus dans sa paume, Judith, renversée sur la table, les jambes écartées et offertes, Judith à plat ventre, en train de subir ses assauts par derrière …

Une série d’applaudissements le rappela à la réalité : la réunion était terminée. Un grand remue-ménage se fit dans la salle, à mesure que chacun prenait ses affaires et se dirigeait vers la sortie. Il fut gêné de cette promiscuité des corps qui allait le trahir. Manque de chance, ce n’était pas Judith qui était devant lui, mais Francine, 53 ans, 95 kilos, la responsable des Services Généraux. Il débanda très vite. Quelqu’un se pressait derrière lui, quelqu’un qui avait visiblement hâte de revenir à son bureau, quelqu’un qui n’hésitait pas à pousser à droite et à gauche. Quelqu’un qui avait glissé un papier dans la poche arrière de son jean. C’était Judith. En un clin d’oeil, elle s’était faufilée vers la sortie, laissant dans son sillage le contact éphémère avec sa peau douce et son parfum, vanillé. Il rebanda immédiatement.

Une fois à l’extérieur de la salle et à l’abri des regards indiscrets, il déplia le bout de papier d’une main moite. Il y était inscrit au crayon à papier : «Rejoins-moi dans la salle des photocopieuses du 4ème. Tout de suite». Il ne mit pas longtemps à se décider, il se rua vers l’escalier, descendit rapidement les deux étages et s’engouffra dans le couloir, très long, au bout duquel il y avait la salle de reprographie peu fréquentée et surclimatisée. Il prit une inspiration avant de pousser la poignée.

La salle était plongée dans l’obscurité. Il faisait un peu froid. «N’allume pas !», dit elle en s’approchant de lui. Le premier baiser, timide, fut plutôt un frôlement préliminaire et superficiel, comme un protocole de reconnaissance. Il huma son parfum sucré et elle, du bout des doigts, chercha la cicatrice dans son cou. Il n’y avait pas de doute, c’était lui, c’était bien elle. Leurs baisers s’approfondirent et s’échauffèrent. Il avait les mains agrippées à son petit cul taille 36 et la maintenait plaquée contre son bassin, afin qu’elle sente à quel point il avait envie d’elle. D’une main agile, il partit à la recherche de sa culotte. Son excitation redoubla quand il se rendit compte qu’elle n’en portait pas ! Elle s’était démultipliée en plusieurs fragments, l’assaillant par tous les côtés. Les baisers de Judith dans son cou, la langue de Judith sur sa cicatrice, la main de Judith qui déboutonne sa braguette … Lorsqu’il saisit d’une main avide sa lourde poitrine, libérée du soutien gorge qui l’oppressait, il douta de sa capacité à se contenir très longtemps.

«Qu’est-ce que tu veux de moi?» lui demanda-t-il, dans un râle de plaisir, alors même que son pantalon venait de tomber à ses chevilles.
«Tu ne le sais donc pas?» fit-elle, taquine, en saisissant son sexe. «Je veux que tu me baises»
«Ici ?»
«Ici. Maintenant. Tout de suite.»

Il n’était pas du genre à se l’entendre dire deux fois. Il la souleva et en un quart de tour, Judith se retrouva le dos nu contre la porte lisse et froide. Les jambes enserrant sa taille, ses cuisses écartées et tremblantes, elle était prête à le recevoir, avide et impatiente. Il fléchit les genoux pour la pénétrer, délicatement. Elle laissa échapper un petit cri. Il s’enfonça alors en elle complètement. Il s’éloigna pour revenir à nouveau, en répétant le geste de plus en plus vite. Le verrou tremblait et la porte claquait avec un son feutré et régulier, comme un métronome

«Attends, on va se faire repérer» lui dit Judith, en l’enjoignant de la poser à terre. Elle s’avança alors vers les photocopieuses, dont les néons verts éclairaient faiblement cette pièce sans fenêtre. Elle se pencha sur l’une des machines, les avant-bras en appui sur le clapet supérieur. «Viens».

Il releva sa jupe, passa une main entre ses cuisses pour caresser son clito, et de l’autre inséra son sexe dans sa petite chatte humide. Le mouvement du bassin reprirent et s’approfondir. Lorsqu’elle se mit à gémir un peu fort, il lui plaqua la bouche, tout en accélérant la cadence. Le bourdonnement des machines couvrait à peine les soupirs étouffés, et le claquement distinctif de ses couilles. Elle était proche de l’orgasme, il pouvait le sentir aux mouvements irréguliers de son bassin et à la manière dont elle contractait les muscles du vagin, enserrant l’étreinte autour de sa bite. Quand une des mains de Judith se faufila entre ses jambes pour tirer délicatement sur ses bourses, Il sentit que cette pression délicieuse et imprévisible allait le faire jouir. Il essaya de se contenir encore un peu, mais le plaisir, trop fort, allait échapper à son contrôle. Il se retira et l’instant suivant, il éjaculait sur le dos de Judith.

Ils restèrent prostrés, l’un sur l’autre, pendant cinq bonnes minutes, pour se calmer, pour reprendre une respiration normale. Quelques gouttes de sperme vinrent tomber sur une feuille de papier, une photocopie que personne ne récupèrerait. Puis Judith eut froid, elle se dégagea de son étreinte, chercha ses affaires pour les remettre promptement. Sans se retourner elle se rhabilla, tandis qu’il revenait encore à lui. Elle se baissa pour ramasser son T-shirt par terre et le lui jeta, un sourire au coin des lèvres et un feu aux joues qui ne manquerait pas de la trahir. Judith s’en fichait.

Quand elle fut prête, elle s’approcha de lui pour un dernier baiser, du bout des lèvres, aussi timide que le premier. Elle murmura «Rendez-vous demain, à la même heure» avant de repartir, le laissant dans une posture débrayée, le torse nu, la bite à l’air, le pantalon aux genoux.

Ils ne s’était jamais vraiment parlé.

Petit-déjeuner au lit et plus si affinités

Je m'abandonne, béate dans les bras de mon amant. Alors qu'il s'apprête à me pénétrer, il fait soudain entendre un cri strident ; une miette de pain acérée vient sournoisement de lui piquer les fesses. Rien à faire, notre élan est coupé et je le maudis d'avoir ignoré mon interdiction de manger des tartines pâté-fromage-salami au lit.

Je ne supporte pas qu'il y ait la moindre miette dans mon lit, mes draps sont sacrés, les seules miettes tolérées sont les miettes de tabac à rouler que je sème un peu partout au gré de mes trajets, y compris dans mon sac et ma tasse de café. Comme je passe le plus clair de mon temps libre au lit, ma couette et mes oreillers sont souvent tapissés par le contenu de mon sachet de Golden Virginia.
Bref, ça n'est pas le sujet, je digresse, je digresse et je perds le cap.
Donc, revenons à nos miettes de pain ! Je voulais juste démontrer par ma haine ancestrale des miettes boulangères que mes quelques rares tentatives de "petit-déjeuner au lit" avec mon amant ne sont qu'exceptionnellement suivies par de tendres ébats, dans mon cas ça serait plutôt l'occasion de me livrer à de furieuses manœuvres ancillaires. Invariablement, je me retrouve à épousseter avec énergie les nombreuses miettes de croissant ou de pain qui se glissent insidieusement sous les draps.
Et puis de toute façon, hormis le dimanche matin, j'ai rarement le temps de préparer un bol de céréales ou quelques tartines beurrées avant de partir au travail ; je suis trop heureuse lambiner au fond de mon lit, collée à mon amant et occupée à profiter de ces quelques minutes matinales durant lesquelles nous pouvons nous étreindre.
Un moyen efficace de débuter la journée du bon pied.
Mais le ventre vide, hélas !

Alors, comme le matin j'ai faim, eh bien je ne fais ni une, ni deux : je le dévore !
J'engouffre son sexe durci dans ma bouche, je lèche ses couilles , je lui bouffe le cul, j'absorbe avec délices tous les sucs répandus par son corps doux et chaud, et ce n'est que lorsque j'avale son sperme, que la crème chaude et délicieuse coule au fond de ma gorge que je me sens enfin repue. Et lui non plus ne se prive pas de petit-déjeuner : pour lui, la saveur de ma chatte, de mes sécrétions s'apparente à celle de viennoiseries, et c'est avec délices qu'il lèche chaque matin, à l'aube, mon petit croissant.
C'est un vrai gain de temps, deux en un : petit déjeuner et partie de jambes en l'air, que demander de plus ?

A vrai dire, j'aime tellement le goût de son sperme que je me surprends à imaginer m'en servir comme d'un condiment. Voilà que des recettes indécentes défilent dans ma tête ; St-Jacques au sperme et lait de coco, café liégeois et sa chantilly de sperme... Quelles rêveries délicieuses, je sens déjà le goût de la semence sur le bout de ma langue.
Or, toute la difficulté de ce genre de recette consiste à se procurer l'ingrédient principal, il faut bien sûr qu'il soit de toute première fraîcheur afin que toute la saveur et le parfum en soient conservés.

La solution ? Récolter le nectar à la source : il suffit de se munir d'un peu de patience et de beaucoup de salive ou d'huile de coude, au choix, et le tour est joué.
Je ne vais pas, par pudeur, entrer dans les détails, mais je vous assure que vous verrez bientôt se répandre, telle l'eau pure et mousseuse qui jaillit d'une fontaine, le précieux liquide trouble et amer hors du piston érigé que vous secouez depuis bientôt deux, cinq ou même vingt minutes, au choix.
Bien sûr vous avez un peu mal au poignet, voire une crampe à la mâchoire, mais ce n'est pas le moment de mollir, il vous faut prestement recueillir la semence dans un récipient adapté avant qu'elle ne précipite. Laissez ensuite reposer la giclée de sperme au bain-marie, à 37°C, jusqu'à ce que vous souhaitiez l'utiliser à des fins culinaires.

Envoyez-moi vos recettes, je suis preneuse ! Si vous êtes sages je publierais ma fameuse recette de gâteau au yaourt de sperme. Ca fait toujours un un tabac au goûter !

A propos des chaussettes

Ca me fait penser que j'ai perdu pas mal de chaussettes ces derniers temps. Je n'ai plus que des paires dépareillées dans mon tiroir à sous-vêtements.

Ca aussi ça me rend triste.

Je me demande si c'est pas mon chat qui les mange.

Ou peut-être que c'est mon amant qui me les pique en douce...

Je ne sais pas pourquoi mais si c'est le cas, je préférerais autant qu'il me pique des petites culottes, ça me rassurerait sur sa santé mentale.

Je mouille dans le vide

Ma chatte est trempée, pour changer... mais ça ne sert plus à rien. Je suis en train de lui expliquer qu'il faudrait qu'elle se calme étant donné que mon amant est reparti.

Oui, il habite à la campagne chez les ploucs. Régulièrement il monte à Paris pour pouvoir me monter aussi et à chaque fois qu'il me quitte, je suis triste parce qu'avec lui c'est un peu la chevauchée fantastique. Comme si ma chatte était le moule de sa bite, ou un truc dans ce goût-là... On s'entend bien au lit, c'est certain, mais pas que. Chose rare, ce spécimen masculin semble muni d'un cerveau. Il a vraiment été gâté par Dame Nature, une grosse bite ET un cerveau, que demande le peuple ! Je vous le dis : c'est l'homme parfait, je ne pouvais pas rêver mieux. Il passe son temps à me propulser au septième ciel, il me lèche, me caresse, me baise sauvagement, me fait l'amour tendrement... Il me met dans tous mes états.

Je me demande tout de même pourquoi il n'enlève jamais ses chaussettes.

dimanche 15 mars 2009

Dating Simulator : Ariane est une salope


J'ai découvert la semaine dernière un jeu de rôles virtuel, où vous incarnez un homme qui doit séduire Ariane (séduire = euphémisme pour "niquer"). Tous les coups sont permis, voire recommandés : la baratiner, la faire boire, l'accompagner faire du shopping ... Dans le genre allumeuse, Ariane se défend pas mal aussi : elle vous montre ses seins, mais quand vous voulez les toucher, elle vous renvoie chez vous; elle se laisse embrasser et peloter dans la piscine mais si vous passez trop de temps sur ses nibards, elle se fatiguera et vous renverra à la maison.Gare à vous si vous entrez dans les toilettes pendant qu'elle se change ou fait pipi ! De même, ne pensez pas qu'il suffit de la ruiner au whisky : au mieux, elle vous montrera sa chatte, mais très vite, elle s'endormira sur la table, en vous traitant de gros pervers si jamais vous tentez de la déshabiller. 
Pour être sûr de se la faire, il faut :
- la faire danser et l'embrasser
- la faire boire au moins 3 fois avant de sortir de la maison (mais pas 3 d'un coup sinon elle tombe raide saoule)
- lui faire faire un petit tour en voiture
- la peloter de retour à la maison, en évitant de s'attarder sur ses seins (aller tout de suite au but)
C'est drôle de faire ce jeu en étant une fille, de se mettre dans la peau d'un séducteur calculateur, manipulateur ou manipulé. On peut déplorer que les situations manquent parfois de subtilité, mais imaginez combien les étapes et les alternatives seraient réduites si Ariane était un homme !

Présentation investisseurs

"Je m'excuse, mesdemoiselles, mais je n'ai pas bien compris votre concept de marque. Comment comptez-vous développer un business model rentable si vous n'avez pas de positionnement clair ?"

L'homme, confortablement assis dans son fauteuil en cuir, ferma le clapet de son ordinateur portable et croisa les mains en signe de renoncement. A l'abri derrière ses petites lunettes rondes, il se permit un regard sceptique, impatient, de celui à qui on a fait perdre son temps. Il ne tarderait pas à congédier ces deux étudiantes un peu bavardes qui lui avaient présenté leur projet professionnel.

Lisbeth tremblait, complètement paniquée à l'idée que cet homme qui pouvait d'un claquement de doigts faire et défaire leur carrière naissante, allait probablement les renvoyer à la case départ. Alexandra cependant n'en démordait pas. Elle croyait à son projet, qui était viable, naturellement, et elle ne laisserait personne la d9courager ou se mettre en travers de son chemin. Elle décida de déployer davantage de pédagogie.

"C'est sans doute que nous n'avons pas été assez claires. Laissez moi revenir sur une des slides du début."

Alexandra s'avança et ralluma l'ordinateur, en s'exonérant de la moindre autorisation préalable. L'homme n'eut même pas le temps de relever son insolence qu'elle était déjà penchée au dessus de lui, les avant-bras en appui sur la surface boisée du bureau. Il fut gêné par cette pose lascive qui le forçait à s'enfoncer dans son fauteuil, mais qui lui offrait en échange une vue agréable de la courbe de son corps ambitieux et apprêté.

"Ah ! voilà où je voulais en venir. Si l'on se fie à ces chiffres, c'est le moment idéal pour investir ce marché car ..."

La voix d'Alexandra devint un son continu et indistinct : il ne l'écoutait plus, absorbé par une douce rêverie. Et si la pose était une invitation ? D'une main, il suiverait alors la cambrure du dos de la jeune femme, en imaginant caresser sa peau, et non le tissu, doux mais sec, du chemisier en soie, puis de la jupe noire. Il s'attarderait sur le creux des reins, par déférence envers ce fessier rond et téméraire qui s'exposait à tous les risques. Il se demanda quelle texture auraient ses fesses s'il les saisissait à pleine paume : seraient-elles douces et moelle uses, se prêtant avec délice à tous les massages, ou au contraire fermes et serrées, gardant en chaque circonstance cet arrondi irrésistible ?

"Car le problème de la concurrence, c'est qu'ils n'ont pas compris les véritables enjeux du changement technologique ..."

Sa main aurait déjà glissé le long de ses jambes, serait descendue jusqu'aux chevilles d'Alexandra, autour desquels ses propres doigts s'enrouleraient. Puis il refairait le chemin inverse, remontant par le mollet, un mollet tendu et intransigeant auquel succèderait une cuisse plus indulgente et souple. Au moment où sa main quitterait le bas couture pour glisser tranquillement sur la peau nue, l'homme savait qu'il ne pourrait plus faire marche arrière.

"Non, sérieusement, je pense qu'une telle marque, avec un projet aussi fort, ne peut que réussir, ça me paraît évident que ..."

L'homme avait chaud. Son excitation involontaire commençait à rendre sa position inconfortable, il eût fallu qu'il masquât les palpitations de son bas-ventre par quelque dossier, ou même sa main, mais son geste l'eut trahi. Il revint sans peine à la croupe alléchante d'Alexandra.

D'un doigt désinvolte, il ferait glisser la petite culotte (qu'il s'imaginait en soie couleur chair), puis s'insinuerait dans le sillon, humide et indolent. La perspective de cette spéléologie intime augmenta son échauffement. Tandis que le majeur pén trerait dans la fente naturellement moite et accueillante d'Alexandra, l'index, audacieux, forcerait le passage vers la cavité étroite et privée de l'hémisphère nord. Commencerait alors une délicieuse manipulation qui ne s'arrêterait pas tant que la voix de la jeune femme deviendrait râle de plaisir.

L'homme se raidit tout d'un coup en voyant que Lisbeth était en train de l'observer. Elle le dévisageait même, avec une effronterie éloquente. S'efforçait-elle de percer à jour ses viles pensées ? Non, ce n'était pas un regard réprobateur, au contraire. En fait, il eut le sentiment d'être déshabillé, comme si avec ses yeux elle avait le pouvoir de déserrer sa cravate, de déboutonner sa chemise, et de dézipper sa braguette. Il éprouvait distinctement le contact de sa main sur son corps ; ses sens lui jouaient décidément un vilain tour, car il n'arrivait plus à distinguer l'illusion de la réalité.

Non, il ne rêvait pas, il sentait son sexe déjà captif d'une main qui l'entreprenait de façon appliquée et rigoureuse. Etait-il possible que tout ceci ne soit pas réel ? Etait-elle fausse, cette Lisbeth-là, avec sa bouche si tendre qui allait et venait, à ses pieds ? Comment était-il possible qu'il ressente si distinctement les caresses qu'elle lui prodiguait, avec sa langue et ses doigts ? Qu'elle était douce, cette succion tantôt pressante, tantôt lC3chante ... Et l'impatience de ses doigts, qui s'agrippaient à ses chairs ... Il n'eût jamais escompté tant de vigueur de ce petit poignet !

L'homme ferma les yeux pour recueillir toute l'attention que réclamaient ses sens, afin d'apprécier l'extase qui, il le savait, ne tarderait pas si Lisbeth maintenait la cadence. Quand il les rouvrit, Alexandra se tenait debout devant lui, un air de défi dans le regard. Il n'osa dire mot, de peur de rompre le charme de cet instant. Guidée sans doute par cette faculté d'adaptation qu'elle avait vantée dans son CV, elle défit le noeud de son chemisier, qui masquait la naissance d'un décolleté cachottier, et remonta sa jupe de façon à dévoiler la petite culotte noire en coton (et non en soie, comme il le croyait), qu'elle portait. L'instant suivant, sa langue entreprenante pénétrait sa bouche, mordillant au passage la lèvre inférieure, qui répondit favorablement à cette entrée en matière.

Tandis que la main gauche de l'homme maintenait la nuque bouclée de Lisbeth, sa main droite empoignait le sein d'Alexandra, l'armature du soutien-gorge n'étant pas un réel obstacle à cette prise de possession. Dans cette posture, il sentit qu'il allait jouir rapidement. Il voulut leur demander de se mettre à genoux, toutes les deux, mais il n'en eut pas le temps... Un éclair de plaisir, long, intense et étiré, le traversa et il déchargea par sa lves successives, le fruit de cette jouissance. Un soupir de volupté s'échappa de ses lèvres, sur lesquelles apparut un sourire soulagé.

"Pardon?", demanda Alexandra d'une voix méfiante en se retournant. Elle était soudainement habillée, à un mètre de lui, et Lisbeth, de l'autre côté du bureau, ne semblait pas avoir bougé. Tout ceci n'avait donc été que pure rêverie ? Impossible ! La chaude humidité de son pantalon attestait du contraire. Pourtant, les deux jeunes femmes le regardaient avec une perplexité qui indiquait qu'elles y étaient étrangères..

"Je veux dire, vous m'avez convaincu. Je crois que je vais investir dans votre projet."

Leurs visages se décrispèrent immédiatement et elles accueillirent la nouvelle avec une joie non feinte.

"Parfait ! Nous serons donc amenés à nous revoir prochainement ?" demande Lisbeth
"Prochainement et régulièrement !" ajouta Alexandra

Elles se levèrent, satisfaites. Il les raccompagna jusqu'à la porte de son bureau.

"A bientôt ! Tout le plaisir était pour moi"

vendredi 13 mars 2009

Friday spirit

bunny :
je crois que je suis allergique à [le nom de ma boîte]
ou peut etre à la vie de bureau en général

kitty :
ouais
moi je suis allergique aux jours sans sexe

bunny :
j'ai envie de niquer !
je mouille mon siège à roulettes là !!!

kitty :
faut vraiment que je mincisse
que je me remette au sport
lundi jvais voir une nutritionniste

bunny :
moi aussi
je suis vraiment tres moche en ce moment
des énormes boutons
le teint brouillé
les cheveux éléectriques
un cul énorme
des bras qui ressemblent à des cuisses
et de gros cernes violets

kitty :
mais non, t'es vraiment pas affreuse, arrête

bunny :
en ce moment je suis pas top
il faut etre lucide
c'est pour ça que je me tape un vieux
ils sont moins regardants sur la marchandise

kitty :
putain y a une meuf qui a chié dans les WC sans tirer la chasse d'eau ... ou alors elle a bouché les chiottes

bunny :
hahahah
ça doit etre un mec

kitty :
dans les chiottes des filles ?

bunny :
ouais
tous les mecs vont ds les chiottes des filles pour chier
ils disent que c plus propre

Fantasmes post-prandiaux

Il est 13h50, je sors de ma pause déj et je me ferais bien niquer par le créa du 5ème étage, histoire de mettre en route la digestion. De toute façon, je ne vais pas faire grand-chose de mon après-midi. C'est vendredi, c'est-à-dire le weekend, et comme mon boss ne m'a pas filé de travail de toute la semaine, je doute qu'il le fasse maintenant (à quoi bon ?)

Arf (soupir)


Le pire, c'est que je ne l'ai même pas vu aujourd'hui (je reviens à mon créa du 5ème). C'est dommage, j'étais bien partie pour violer des yeux dans la salle de pause, où on se croise souvent pour déjeuner. C'est drôle, on ne se parle pas, je ne connais même pas son prénom, il n'est même pas super beau, ni ultra charismatique, mais il m'excite. Et ça, c'est une super raison d'être motivée pour venir au boulot, pour s'habiller sexy !(aujourd'hui, j'ai le look de secrétaire lubrique, jupe + escarpins rouges, surmontés d'un petit top en soie, couleur chair, avec quelques rubans de dentelle).
En fait, ce qui serait le pied, pour se motiver quand le réveil sonne à 7h, c'est d'avoir un amant sur son lieu de travail. Genre, un petit coup vite fait dans la salle des photocopieuses : c'est bien connu, la reprographie appelle naturellement à la reproduction ! Hmmm ...(Je pense à tous les endroits de ma boîte où je pourrais baiser tranquille) : il y a les inévitables toilettes, mais il faudrait y aller discrètement à la pause déj, et encore, celles du dernier étage, où il n'y a jamais personne. Pourquoi pas dans la salle de réunion (après la réunion) ? Là, il n'y a que l'embarras du choix : les tables, les fauteuils de ministre, le parapet, voire, le mur de rétroprojection ... Ca y est, mon imagination s'emballe ! Et pourquoi pas dans le bureau tout simplement, à l'ancienne ? C'est vrai, malgré le principe des cloisons vitrées, un coup de stores et hop ! on peut tirer son coup tranquille :) ah mais j'oublie que j'ai des collègues, qui n'apprécieraient peut-être pas que je me livre à une exhibition de mes muqueuses devant eux.
Au final, l'endroit le plus agréable pour faire l'amour au boulot, c'est encore l'hôtel d'en face ;-)

Toponymie du cul

Ce n'est pas évident de créer un blog dédié à l'étalage impudique de sa vie sexuelle (réelle, fantasmée et refoulée). Il faut se créer une nouvelle adresse (pas envie que des mails destinés à Kitty Miam arrivent en même temps que les messages de mon patron. ou des mes amants, au choix). Il faut réunir une équipe de rédaction pour s'assurer que ce blog sera alimenté en contenu régulièrement. Et surtout, il faut trouver un nom qui dépote, sans faire vulgaire.
Evidemment, tout ce qui fait un peu chic & sexy est pris (libertinages, libertinades, coquineries, turpitudes, stuprefaction ...). Du coup, on a pensé au trash (salopes lubriques, clitovaginales, chiennasses 2.0) mais ça aussi, c'était pris. Alors voilà, on a louvoyé, pour traduire l'esprit du blog : le trash glamour. Parce que les filles aussi disent "niquer", parce que les filles aussi sont obsédées par le cul, parce que les filles aussi ont des fantasmes franchement pervers. Salopes ? Nous ? "Petites salopes" alors, pas vraiment le genre nympho car le mec qui ne nous plaît pas peut passer son chemin. Et finalement, des mecs qui nous font mouiller, il n'y en pas tant que ça ... Vous connaissez sûrement l'adage : c'est ceux qui en parlent le plus qui en font le moins. Eh bien, ce n'est pas toujours vrai ;-)